lundi 28 juillet 2014

Sujet du Merc. 30/07 : Suicides, euthanasie : progrès ou régression ?



Sujet : Suicides, euthanasie : progrès ou régression ?
Définitions :

Suicide : (du latin suicidium, des mots sui : « soi » et caedere « tuer ») acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Diverses causes peuvent conduire un être humain à y recourir.

Suicide assisté : Suicide réalisé avec l’aide d’un tiers.

Euthanasie : (du grec « eu » = bonne et « thanatos » = mort) désigne le fait d'avoir une mort douce, que cette mort soit naturelle ou provoquée.
L’acception actuelle se limite à l’acte
Des gardes fous à l’observation rigoureuse, notamment en matière d’euthanasie (à considérer ici comme la volonté anticipée de mort assistée) n’empêcheront certainement pas des dérives, mais le respect du choix des modalités de sa propre mort serait reconnu.

Cette hypothèse que beaucoup appellent depuis longtemps de leurs vœux soulèverait sans doute des problèmes moraux et éthique comme la délégation à un tiers, même couvert par un corpus législatif, de l’acte de donner la mort à autrui surtout quand ce dernier serait, à ce moment-là, dans l’impossibilité de « re »manifester sa volonté.

Mais, même dans le meilleur des cas, une légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie révèlerait-elle une conception barbare de l’humanité ou s’inscrirait-elle comme un progrès de société majeur ?

Si les quelques propositions qui suivent permettront, peut être, d’agrémenter le débat elles n’en constituent surement pas la limitation.

è Loi Léonetti 2005 sur la fin de vie: L’ art. 2 prévoit la fin de l’acharnement thérapeutique avec passage aux soins palliatifs jusqu’à ce que mort s’ensuive! « L’humaine » agonie plutôt que « l’atroce » mort ? Hypocrisie plutôt que honnêteté?

è Pas de choix de naitre ni de mourir (naissance = au mieux choix des parents, mort = interdiction d’abréger sa vie)

è Peut-on donner la mort, fut-elle douce, un individu du seul fait qu’il l’ait demandé?

Danger de l’euthanasie non volontaire, c'est-à-dire à l’initiative du corps médical sans que l’individu de provoquer la mort d’un individu atteint de maladie incurable par ou sous le contrôle d’un médecin.
L’euthanasie ne se définit pas par le moyen mais par l’intentionnalité de provoquer la mort d’un individu dans un contexte particulier et par un tiers.

L’euthanasie, qui a une très forte connotation avec d’ignobles pratiques, ne doit pas s’y limiter. Elle est à considérer aussi comme le respect de la volonté anticipée d’un individu prévoyant la perte de sa possibilité de l’affirmer. 


L’actualité remet régulièrement  en lumière le problème de la fin de vie: le recours fréquent  au suicide (moyenne de 700 cas par jour en 2010), l’inobservation des prescriptions de la loi (Affaire Lambert),  l’euthanasie pratiquée en transgression de la loi pour diverses raisons (affaire Bonnemaison).

Une société démocratique, issue des lumières et arborant des fondamentaux humanistes se doit  de mettre un terme à ces situations par une action politique conforme aux idéaux qu’elle prône.

Celle-ci  pourrait être comprise comme la mise en débat du problème de la gestion de la fin de vie  sans écarter les dangers (religieux, politiques, financiers… ), ni dissimuler les avantages (responsabilité de l’individu, respect de la dignité humaine, fin des souffrances pénibles, des agonies inutiles…)pour aboutir à une loi ouvrant le droit à abréger sa vie.
è ne l’ait demandé ?

è Le suicide (n’est plus réprimé depuis 1810 mais sa tentative peut conduire à une hospitalisation en psychiatrie !) est condamné par les religions monothéistes; les suicide assisté et euthanasie sont considérés comme des crimes par la loi française

è Peut-on s’opposer à la volonté d’une personne de mettre fin à sa vie?

è Faut-il limiter le suicide assisté aux seuls malades incurables, en fin de vie ou le permettre à qui le souhaite?

è Les moyens de mettre fin à sa vie sont divers mais souvent violents (produits pharmaceutiques, armes à feu, gaz, défenestration, pendaison, train etc…), douloureux  (la mort n’est pas toujours immédiate, parfois un suicide raté peut laisser des séquelles).

è Peut –on refuser à qui souhaite mettre fin à sa vie, de le faire dignement et sans souffrance ? 

è Accéder à ces demandes n’est-ce pas faire courir un risque à l’humanité ?

è Subordonner l’intervention à l’avis de la médecine, n’est-ce pas dénier à l’individu l’exercice de sa liberté, de sa volonté? N’est pas dans ce cas donner au corps médical un droit supérieur à celui de l’individu?

è Le recours au  suicide assisté ou à l’euthanasie n’est pas donné actuellement à tout citoyen (ceux qui en ont les
è moyens : financier, intellectuel, relationnel etc.., et les autres). N’est-ce pas entériner une inégalité supplémentaire dans l’expression des volontés intimes ?

è Les philosophes, des grecs aux modernes, ont pour la plupart abordé le problème de la mort et du suicide. Adeptes (Stoïciens, Egésias, Hume, Nietzsche…) comme contempteurs (Platon, Spinoza, Levinas…) ont développé force argumentation. 

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LES SUJETS A VENIR SERONT DISCUTES EXCEPTIONNELLEMENT
LE MARDI AU MOIS D’AOUT

                                                     MARDI 5 Aout

969                      «  Sans dieux l’homme vivrait comme un animal »

                                                    MARDI 12 Aout
             
970                                   L’instantané comme temps.

                                                    MARDI 19 Aout
971
                                            Qui élit les peuples ?

lundi 21 juillet 2014

SOMMES NOUS INFORMES ?

Depuis qu’un avion civil s'est écrasé dans l'Est de l'Ukraine "nos" radios et télévisions ont très rapidement validés, propagés, diffusés la version officielle du Département d'Etat des USA.

Pourtant d'autres sources existent. Réflexions pour un sujet à venir : "qu'est ce que l'objectivité ?" avec quelques éléments fournis par nos amis canadiens.



L’écrasement du Boeing 777
de Malaysia Airlines

Publié le 18 juillet 2014 par Oscar Fortin
À peine quelques heures après que s’est produite cette tragédie, les émissions spéciales d’information se multiplient pour pointer du doigt celui ou ceux que l’on voudrait bien voir comme auteurs d’un tel crime.
Une lecture matinale de diverses agences et réseau d’information me permet de dégager un certain nombre de faits que je soumets à ceux et à celles qui s’intéressent à ce drame qui a coûté la vie à plus de 283 passagers auxquels il faut ajouter 15 membres d’équipage.
Quelques faits :
1. Selon l’aiguilleur du ciel espagnol qui gérait le vol de l’avion de Malaysia Airlines, des avions militaires ont croisé le Boeing trois minutes avant sa disparition des radars. À peine avait-il disparu que les autorités de Kiev annonçaient qu’il s’était écrasé. Il se demande alors comment ont-elles su si vite qu’il s’agissait d’un écrasement.
2. L’avion présidentiel russe, avec à son bord le président Poutin, de retour de sa tournée latino-américaine, devançait de 37 minutes sur la même trajectoire le Boeing 777 de Malaysia Airlines. L’avion présidentiel passa à 12h21 GMT au même point où est disparu des radars l’avion malaisien 37 minutes plus tôt, soit à 11h44 GMT.
Certains se demandent si la véritable cible n’était pas l’avion du président russe. Il y aurait eu de la part des auteurs une erreur de perception, confondant l’avion malaisien avec celui du président russe.
Un sujet qui fera jaser pendant encore longtemps.
3. Le procureur général d’Ukraine, Vitali Larema, dément la prise par les miliciens de systèmes Bouk et S-300, pouvant atteindre des cibles à plus 10 kilomètres d’altitudes.
Cette déclaration met un terme aux spéculations voulant que les miliciens aient mis la main sur certains de ces missiles pouvant atteindre des cibles à plus 10 kilomètres, altitude de vol du Boeing 777 de Malaysia Airlines.
4. La Russie confirme que les moyens de la défense antiaérienne russe n’étaient pas actifs dans les zones frontalières de la Russie avec l’Ukraine ce 17 juillet, et que les Forces aériennes de Russie n’ont effectué aucun vol ce jeudi.
5. Les pièces recueillies par les insurgés sur les lieux de l’écrasement de l’Avion 777 (cartes mémoires flash, cartes mémoires d’appareils photo, boîtes noires) seraient remises aux experts désignés aux fins d’enquêtes
Une histoire à suivre. Quelque part, il y a anguille sous roche.
Oscar Fortin
Québec, le 18 juillet 2014

Sujet du Merc. 23/07 : THÉORIE DU GENRE, THÉORIE TOTALITAIRE.



                          THÉORIE DU GENRE, THÉORIE TOTALITAIRE.

Le terme totalitaire devra être entendu comme volonté par les auteurs de la « théorie du genre » de développer et d’imposer une théorie ayant volonté de se substituer à la division sexuée entre les êtres humains.
Il est de bon ton, et dans les plus hautes sphères de l’Etat, et dans les milieux se réclamant de la gauche, de dire et répéter qu’il n’existe pas de «  théorie du genre ». Bien pratique. Si ça n’existe pas pourquoi en débattre ?!. On comprendra mieux, par la suite pourquoi il est préférable de ne pas débattre d’une théorie « qui n’existe pas » pour faire passer comme « progressiste » toutes les modifications législatives apportée à la famille, à la procréation assistée, à la Gestation pour autrui ….


Les fondateurs :       

Alfred Kinsey
Le but des études de Kinsey était de normaliser un lot de comportements qui avaient toujours été considérés comme socialement inacceptable, tel que, la sodomie, l’inceste, la pédophilie et la zoophilie. En montrant que ces comportements étaient plus répandus que le public ne le percevait, cela les rendaient plus acceptables.  Kinsey montrait que l’homosexualité était beaucoup plus fréquente qu’on ne l’avait alors pensé : Il écrivit : «37% de la population mâle (des États-Unis) possède au moins quelques évidences d’homosexualité reliées à l’orgasme entre l’adolescence et la vieillesse. ». Kinsey avait ‘’découvert’’ que les enfants étaient des êtres sexués avec un appétit sexuel (qui devait supposément être satisfait) à partir des premiers instants de la petite enfance. Les études de Kinsey ont également servi à banaliser l’inceste et la bestialité. Plusieurs livres modernes, tels que ‘’Wardle Pomeroy’s Boys and Sex and Girls and Sex, (Pomeroy était un co-chercheur de Kinsey )’’ prétendent que les contacts sexuels avec un parent ou un semblable ou un animal familier seraient un bénéfice pour les deux individus en autant que les impressions de culpabilité imposés par la culture aient disparues et que les orifices utilisés soient propres.         

Les données de Kinsey sur la sexualité infantile provenaient de ce qui paraît être des activités criminelles déguisées en recherches.
Reisman and Eichel expliquent : «Kinsey appears to have directed experimental sex research on several hundred children aged 2 months to almost 15 years. The children were orally and manually stimulated to orgasm by a group of nine sex offenders, some of whom were technically trained» (if they were not child sex offenders before, they were after the experiments). L’équipe de Kinsey masturbait des bébés de deux mois jusqu'à l’orgasme et les chronométraient.
MAIS,  FAUSSE SCIENCE : le quart des échantillons de Kinsey étaient des anciens prisonniers. Kinsey avait délibérément choisi une part importante de détenus pour biaiser son échantillonnage. Qui plus est, plus de 60% de ces détenus l’était pour des offenses d’ordre sexuel. Kinsey savait que ces hommes avaient eu des expériences sexuelles en prison. Il était évident que cet échantillonnage résulta en une information biaisée et non représentative des comportements sexuels. En plus des détenus 5% pourraient avoir été des prostitués mâles et les auteurs ont également découvert qu’il y a eu une contribution de 350 étudiants du collège Woodruff de Peoria, Illinois, dont le taux d’homosexualité était de 50%.          

John Money
En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu'ils ont voulu faire circoncire. Las, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est brûlé. Brian, son jumeau, n'a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure l'occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l'éducation peut émanciper. Il convainc les parents d'élever David comme une fille, de ne jamais lui dire - ni à son frère - qu'il est né garçon. Le médecin administre à l'enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin.
A 6 ans, les jumeaux paraissent s'être conformés au rôle sexuel qu'on leur a attribué. Ce serait donc bien l'éducation et la société qui feraient le sexe... Brian est un garçon harmonieux, Brenda une gracieuse fillette. Money les examine une fois par an. Bien qu'ils aient 6 ans, il les interroge sur leurs goûts sexuels, leur demande de se toucher. "C'était comme un lavage de cerveau", confiera Brenda-David plus tard à John Colapinto, qui, en 1998, écrira l'histoire dans Rolling Stones puis dans un livre, "As Nature Made Him : The Boy Who Was Raised As A Girl".
Money est convaincu d'avoir prouvé que le sexe biologique s'efface pour peu qu'on lui inculque un autre "genre". Il publie de nombreux articles consacrés au cas "John-Joan" (c'est ainsi qu'il nomme David-Brenda), puis, en 1972, un livre, "Man - Woman, Boy - Girl". Il y affirme que seule l'éducation fait des humains des sujets masculins ou féminins. La "théorie du genre" est née.
Seulement, Brenda grandit douloureusement. A l'adolescence, elle sent sa voix devenir grave, confie être attirée par les filles, refuse la vaginoplastie que veut lui imposer Money. Brenda cesse d'avaler son traitement, se fait prescrire de la testostérone, divague, boit trop. Brenda se sent garçon engoncé dans un corps de fille. Effarés, les parents révèlent la vérité aux jumeaux. Brenda redevient David, il se marie à une femme. Mais les divagations identitaires ont ébranlé les garçons. En 2002, Brian se suicide. Le 5 mai 2004, David fait de même. De cette fin tragique Money ne fait point état. En 1997, Milton Diamond, professeur d'anatomie et de biologie reproductive à l'université de Hawaï, dénonce la falsification. Money réplique en évoquant une conspiration fomentée par des personnes "pour qui la masculinité et la féminité seraient d'origine génétique »

Mais pourquoi donc, sur des bases aussi frauduleuses, et aux a priori aussi énormes vient-on nous asséner et nous imposer, y compris par le cadre juridique une théorie infondée ? Certes des individus peuvent ressentir une identité différente de celle imposée par leur biologie, certes cela cause des souffrances. Mais clairement cela reste hyper marginal (ce qui ne veut pas dire que l’on ne doit pas porter assistance à ces personnes). C’est un peu comme si constatant qu’il y a des trisomiques, ou des aveugles de naissance, etc…. on voulait imposer à toute la population – sous prétexte d’égalité – l’implantation d’un troisième chromosome, ou de leur retirer la vue !
Ainsi nos « progressistes », car c’est eux, par une cruelle ruse de la raison, qui sont les vecteurs de cette pseudo théorie, pseudo scientifique. Ils pensent qu’il suffirait d’indifférencier les individus, pour atteindre l’égalité (absolue), qu’on pourrait ainsi se libérer des contraintes de la nature et  - merveille des  merveilles - Être enfin ce que l’on veut. Chacun étant libre de construire sa propre identité, modifiable à tout moment.
Plus grave, on peut lire dans «  l’ABCD de l’égalité » (Créteil 2013) édité par le Ministère de l’Éducation :
« Les études de genre
Trois éléments pour définir ce terme : le genre est un contenu social et arbitraire
le genre est ce qui permet d’établir une division sociale entre les sexes. Cette division est présente dans toutes les sociétés.
La genre va permettre d’établir une hiérarchie entre les sexes.
Pour maintenir cette différence, on été créés :
Des normes des valeurs
Des institutions : la famille, l’école ..   (souligné par nous)
Les processus de socialisation : école, diplômes, accès à l’éducation… »
1.      Le passage, international et progressif à cette mutation voulue (atomiser les individus à l’extrême avec un vernis pseudo scientifique), conduit à instaurer de nouveaux paradigmes :
« S’agissant d’homosexualité, il s’agit d’apprendre à toutes et tous qu’il existe différentes orientations sexuelles sans hiérarchie de valeur. » (N. Vallaud-Belkacem, présentation aux députés membres de la commission des affaires culturelles et de l’éducation le programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre, 28 nov. 2012).
2.      Il n’y a pas de complémentarité dans l’éducation et la transmission : un enfant peut être éduqué indifféremment par un homme et une femme, 2 hommes, 2 femmes etc, puisqu’il n’y a pas de différences entre l’homme et la femme. Il faut déconstruire l’idée de complémentarité dans la société car elle est sexiste: on va vers la société de l’égalité des genres et non des personnes définies par leur identité sexuée (avant la loi Taubira, le mariage était déjà pour tous car nous étions dans un monde d’hommes et de femmes : tout homme pouvait se marier avec une femme et vice-versa. Avec la loi, nous sommes entrés dans la société du genre, composée d’« orientations sexuelles », en l’occurrence pour la loi Taubira de personnes hétérosexuelles et de personnes homosexuelles. D’où l’égalité exigée entre elles).
3.      Procréation médicalement assistée (PMA) ou bébés éprouvette pour tous          
Au nom de l’égalité des couples mariés, hétérosexuels et homosexuels, la PMA est ouverte à tous les couples, y compris les couples hétérosexuels fertiles, ce qui ouvre la porte à l’unique satisfaction du désir des adultes au détriment de l’enfant, qui devient un dû (choix des embryons).
4.      Gestation pour autrui (GPA) ou droit aux mères porteuses pour tous     
Au nom du même principe d’égalité des couples, il faut permettre à des femmes de porter « l’enfant pour autrui » afin que les couples d’hommes puissent avoir un enfant. Tous les couples ont droit à la GPA. La femme (aisée, car pouvant financer) est ainsi libérée des contraintes de la maternité.
5.      L’école devient lieu d’éducation de l’Etat et non plus d’instruction
6.      L’Ecole devient un lieu d’éducation au détriment des parents dont c’est aussi une des fonctions. Les parents ne deviennent plus que de simples responsables légaux de leur enfant.

Sujet du Merc. 23/03/2024 : Le cas Nietzsche.

                                   Le cas Nietzsche.       Pourquoi un tel titre ? Qui aurait l’idée de dire « le cas Diderot », ou « le c...